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L’affaire de Bertrand Cantat peut se résumer très rapidement par le fait qu’il a tué sa femme suite à 4 gifles dans la soirée du 27 juillet 2003. Il sera alors puni notamment avec un dédommagement de 900.000 euros à verser aux proches de la victime, et à 8 années de réclusion criminelle, qu’il purgera en Lituanie et en France. Toutefois, avec les médias et la presse, les 4 gifles se sont petit à petit transformées en 4 coups de points, 20, 30, puis 40, alimentant ainsi petit à petit l’image de Cantat : un monstre violent.

Pour cette affaire, suite à sa condamnation, il appartient aujourd’hui au public qui va le voir en concert, de séparer le chanteur du meurtrier. Ne pas concevoir cette vision des choses est compréhensible, mais il ne faut pas imposer son opinion à autrui. En 2018, Bertrand Cantat a dû faire face à des concerts annulés et à été confronté à l’avis de son public. Les médias restent une pression constante, et il ne sera jamais vraiment libéré de cette affaire.

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